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| Sujet: Lee Miguel Lun 2 Sep - 23:38 | |
| Lee MiguelEst-ce un doux cauchemar ?... Ou la dure réalité ?Bonjour ! Je m'appelle Lee Miguel, mais ma soeur jumelle m'appelle souvent Mimi. J'ai actuellement 18 ans et je suis né le 06 juillet à à Séoul. Niveau love, j'avoue être célibataire, j'ai bien trop peur d'être trahis pour oser sortir avec un garçon et gay ce qui me vaut des brimades. J'incarne Lee Dong Hun et je suis un personnage inventé caractèreMiguel pourrait être considéré comme une âme en peine. Pourtant, à le voir comme ça, ce n'est pas ce qui saute aux yeux. Lorsque l'on observe le jeune garçon, on peut voir une personne douce et polie, toujours souriante. C'est ainsi, il ne cesse jamais de sourire. Qu'il soit poli, gêné, amusé, triste, mélancolique, forcé... ça reste un sourire, et il ne quitte jamais ses lèvres. Or, bien souvent, il n'en a pas envie. Mais il le fait tout de même. Pour sa sœur, parce qu'il sait qu'elle serait terriblement triste si elle ne voyait pas ce rictus sur ses lèvres. Le seul moment où il ne se force pas, c'est lorsqu'il câline sa petite sœur, son adorable sœur. C'est vraiment sa raison de vivre, sans elle, il aurait déjà arrêté de se battre.
Très protecteur envers elle, Anabella est bien la seule personne pour qui Miguel serait capable de se rebeller et de hausser le ton. Elle, et sa défunte mère. Oh non, n'insultez jamais la mère du garçon, ou vous aurez affaire à un chaton enragé. Même une personne inoffensive peut devenir dangereuse, avec la rage nécessaire. Évidemment, il est tout aussi fortement déconseiller de s'en prendre à sa sœur jumelle. Un lien extrêmement fort le lie avec elle, un lien pur et rempli d'amour fraternel. Il serait capable de donner sa propre vie pour que sa sœur en est une meilleure. Alors s'il apprenait que quelqu'un a levé la main sur elle ou autre... Son habituel visage doux se déformera sans attendre en moue haineuse. Ne jamais sous estimé le pouvoir de gémellité.
Mis à part son adoration et la force qu'il est capable de dégager pour sa petite sœur et sa mère, il est assez soumis. Très serviable, même envers les personnes qui lui marche dessus , il n'est pas du genre à la ramener, même si on le bouscule dans un couloir, au point de le faire tomber durement par terre. C'est d'ailleurs son quotidien. Mais il ne dit rien. Il encaisse les coups silencieusement, souriant toujours après comme si c'était le seul moyen pour qu'il ne craque pas. Au départ il était agressé pour le fait qu'il soit étranger, mais rapidement, son physique et son homosexualité ont été remit en cause.
Miguel est assez craintif à cause de ces nombreux traitements et humiliations. Jamais il ne se déclarera à un garçon, et jamais il n'avouera qu'il est homosexuel. Tout le monde s'en doute, mais il n'a jamais rien révélé. Si ça avait le malheur de s'apprendre, son cas s'aggraverait sûrement. C'est pour cette raison qu'il se croit faible. Il n'a jamais osé revendiquer ses goûts, et se battre pour ce qu'il est. Il n'a jamais osé repousser les coups, se plaindre, ou essayer de changer les choses. Il sait que ce n'est pas la solution de se laisser faire, mais pour lui, il n'y a aucune solution. Sa santé est elle même assez faible, tout comme son physique est frêle. Il a une très mauvaise estime de lui, mais ça, il ne l'a jamais avoué à personne. Malgré tout ce qu'il a pu enduré, il ne s'est jamais plains à sa sœur, préférant lui montrer un grand frère fort, toujours là pour elle.
Cependant, il se ment à lui même. Au fil des années, son état mental s'aggrave, et se mentir à soi même, et à la seule personne qu'il aime est devenu très dur. En état avancé de dépression, il s'est souvent demandé pourquoi sa vie était telle qu'elle était. Pourquoi était-il venu au monde. Quelle utilité avait son existence ? Il provoque la haine, et le désir malsain de faire souffrir, alors c'est de sa faute ? Malgré sa tristesse et son incompréhension face à la vie, toutes ses douleurs sont silencieuses. Il n'en parle pas et continue d'avancer. Le jour où sa sœur n'aura plus besoin de lui, il n'aura plus besoin de vivre, c'est ce qu'il s'est toujours dit. En parti à cause de sa vie difficile, mais aussi de son lien fort avec sa sœur. Une vie sans Anabella est impossible pour lui. Ça lui fait vraiment peur d'y penser, alors ne parlons même pas d'imaginer.
Avec sa sœur, sa vie a un côté doux, enfantin et pur qui lui permet de survivre face à ce dur monde appelé Réalité. Ils ont tout de même une centaine de bons souvenirs, de rigolades... Grâce à elle, il a découvert ses passions très jeune, qui sont le violon, et le chant. Sa seconde passion, il a pu la vivre rapidement, rentrant dans la chorale de l'école, du collège, du lycée, et même de l'église. Mais le violon... Il a pu avoir des leçons jusqu'au collège, même s'il était très doué, c'était sa mère qui lui payait les leçons. Elle avait même payé son violon. Or, à sa mort, son père n'a pas voulu payer les leçons. Malgré tout, il s'entraîne de lui même, jouant lorsqu'il a le temps. Il chante aussi beaucoup, parfois avec sa sœur, ou alors lorsqu'il se sent très mal. Il aime beaucoup chanter les cantines que leur chantait leur mère, lorsqu'ils étaient enfants. quel est le début du rêve dans lequel tu es coincé : Ce rêve n'était pas différent des autres. Tout à commencé dans cette pièce. Une pièce vide. Vide de couleurs, de sons, de joie, de tristesses, de vie, de mort. Vide de tout. Puis j'aperçois un violon dans un coin de la pièce, mon violon. Une fois le précieux objet en main, je commence doucement mais sûrement à en jouer, faisant ainsi vivre la pièce et tomber les murs. Après ça, j'ai erré dans un bâtiment vide de tout, lui aussi, avec mon violon à la main. Jusqu'à ce que je trouve une pièce, avec de la lumière s'y échappant. Oui, j'oubliais de préciser qu'il faisait nuit. Et c'est là où je suis tombé sur cette personne. Elle ne m'inspirait rien de mauvais... Dans ce monde là, je n'ai pas la force de me mentir. Alors, lorsqu'elle m'a sourit, je n'ai pas cherché à savoir si c'était vrai ou faux, je me suis assis à ses côtés,en boule, et je lui ais compté tout mes malheurs. Il n'y a bien que dans cet endroit que je m'octroie le droit d'accepter la douleur, sans l'enfouir au plus profond de moi, camouflé par un sourire forcé. depuis quand es-tu coincé dans ton rêve : Depuis mon accident. C'est en quelques sortes une libération... Je pense pouvoir dire que ça fait deux ou trois jours ? Je ne saurais le dire avec exactitude. apprécie-tu le monde des rêves : Oui et non. Ici, je n'ai pas cette impression constante que je ferais mieux d'être mort, et que je ne mérite pas d'être heureux. Mais d'un autre côté, ma précieuse soeur, Anabella n'est pas avec moi. Une vie sans Anabella ne vaut pas la peine d'être vécue. ta plus grande peur : Que ma soeur soit livrée à la réalité, comme moi je l'ai été. histoire Miguel est un jeune homme né d'un père coréen, un criminel jusqu'à l'os, et d'une mère mexicaine, naïve au possible qui est tombée amoureuse de la personne qui mettra fin à ses jours plusieurs années plus tard. Tout aurait pu être bien plus noir pour ce garçon de 18 ans, s'il n'avait pas eut une sœur jumelle. Son portrait craché jusqu'à un certain point... Ils ont tout les deux la même taille, 169 centimètres. Leur visages possède une finesse différente cependant. Ces jumeaux ont une voix un peu semblable, celle de Anabella étant un poil plus aigu. Concernant Miguel, sa peau est vraiment mate et douce au touché. Un teint caramel qui s'accentue facilement au contact de la chaleur du soleil. Son visage est doux et féminin, un peu comme le reste de son corps. Il n'a pas un pet de muscle, bien trop faible physiquement pour faire ne serait-ce qu'un sport. Il préfère la musique. C'est sûrement pour cette raison qu'il ne pèse pas lourd dans la balance. 48 kilogrammes. Pourtant, il possède une certaine sensualité, sans doute dû à sa pureté. Son cou possède deux grains de beauté, et Anabella possède les deux mêmes. Même diamètre, même emplacement.
Les deux jumeaux ont vu le jour à Séoul. Ils auraient pu naître à Cancun, au Mexique, si leur mère n'avait pas été entraînée par leur père en Corée du Sud. À l'époque de leur rencontre, leur parents étaient très amoureux, et enivrés par l'ambiance de fête, ils ont fait l'amour plusieurs fois sans aucunes protections. Quelques semaines plus tard, Maria a découvert sa grossesse et a décidé de gardé les enfants. Elle était étudiante en hôtellerie afin de devenir barmaid, mais elle a quittée ses études sans se retourner, bien trop heureuse d'avoir enfin une famille à elle. Elle était orpheline, bien qu'avec un héritage lui assurant de bonnes études. Son futur mari l'a donc ramené dans son pays, la demandant par la suite en mariage. Les premières années de vie furent les plus belles pour les jumeaux, Miguel et Anabella. Ce n'est qu'à partir de leur 5 ans que tout commença à se corser. Leur père était devenu alcoolique, ce qui accentua son côté violent et impulsif. Malgré tout, il ne tapait que sur sa femme.
Les coups n'étaient pas très graves au début, mais rapidement, ça a dégénéré. Jusqu'au jour des 12 ans des jumeaux. La pauvre femme fut retrouvée, morte par coups et blessures, dans la rue en face de sa maison. La seule raison pour laquelle le mari ne fut pas enfermé, c'est parce qu'il avait un bon alibi. En sachant qu'il s'était arrangé pour ne pas être aperçu des jumeaux ce jour là, les enfants confirmèrent que leur père n'était pas rentré chez eux ce soir là.
La lumière ne fut jamais établie sur ce triste « incident », et même si Miguel était certain que sa mère avait été assassinée par son père, il n'a jamais eu le courage, et surtout, de preuves. Après l'enterrement, le jeune garçon qu'il était a décidé d'être le meilleur frère possible, afin de protéger sa sœur. Il savait que c'était ce que sa mère aurait voulu, que sa petite Anabella soit heureuse. Ainsi, il mit au dernier plan ses propres problèmes, pourtant déjà assez graves. Au collège, il recevait des lettres de menaces dans son casier, celui-ci était régulièrement tagué et peinturluré. Il avait aussi l'habitude d'être coincé dans les toilettes des garçons, derrière le collège, ou même dans les vestiaires.
Pendant ces moments là, on l'insultait en groupe, on le bousculait, et même parfois, on le frappait. Les élèves ont prit l'habitude de lui taper dessus en dernière année de collège. Plus Miguel grandissait, et plus il semblait provoquer la haine et le dégoût parmi beaucoup de ses camarades. Il a toujours été seul, sans ami. Même si le jeune homme dégage cette aura de douceur pure, personne n'a jamais osé l'approcher. D'une part, il y a ceux qui n'osent pas l'approcher, de peur de devenir la cible des brimades à leur tour, et d'autre part, il y a ceux qui le pensent inaccessible.
Dans les lieux d'études, il était persécuté, et chez lui, il devait se débrouiller seul. Oui car son père est souvent en déplacement. Il arrive à ce procurer de l'argent, sûrement de manière illégale... Mais au moins, il paye tout les frais pour ses enfants, sans néanmoins leur montrer une réelle affection. Ça serait sans doute inutile, il sait que quelque part, assassiner leur mère a brisé quelque chose d'important, qui ne pourra jamais être réparé. Cependant, il ne veut pas faire de dépense inutiles, et selon lui, du violon pour un garçon, c'est un énorme gâchis. Il préférerait que son fils fasse un peu de gonflette pour muscler un peu son corps de crevette. Mais il ne rêvait pas.
Miguel n'aime pas du tout le sport, en particulier pour sa santé fragile. Il a longtemps eu des problèmes de poumons. Et avec les régulières corrections qu'il se prenait, c'était difficile d'être en forme. Il a toujours réussi à ne pas alerter sa sœur avec ses blessures, grâce à du maquillage, et une habilité au mensonge exceptionnelle. Lorsqu'il s'agit du bien être de sa sœur, il donne toujours le meilleur de lui même.
Elle lui a permit de s'épanouir, et de garder un de ses sourires. Le plus important. Un sourire de joie, empli de sincérité. Chaque jour, il était heureux, parce qu'il pouvait voir sa sœur, la voir grandir, s'amuser avec elle, l'aider à travailler... Même s'il est dépressif, il ne veut pas jeter l'éponge. Il veut croire en un monde sans toute cette haine, cette souffrance. Et ça devait bien exister, après tout, tout ce qu'il faisait avec elle l'éloignait de ses problèmes, de cette noirceur qui essayait tant bien que mal de dévorer son cœur fragile.
Rejeté à cause de son origine, de son homosexualité, de son physique de fille... Miguel se pense laid et sans aucun charme. Il ne recherche même pas l'amour, persuadé que ce n'est pas pour lui. Il est beaucoup mieux à veiller sur sa sœur. À son entrée au lycée, Miguel a commencé à avoir de sérieux problèmes. Les propos comme les coups, étaient beaucoup plus violents qu'au collège. Il se faisait clairement harceler. Heureusement, une infirmière adorable le prit sous son aile. Elle avait un air à sa mère. Douce, compréhensive, et excessivement maternelle. Oui, elle lui ressemblait vraiment... À chaque fois qu'il était envoyé à l'infirmerie, il lui racontait un semi mensonge pour éviter de trop l'inquiéter, et ils discutaient tout les deux. Parfois aussi, il révisait dans l'infirmerie, parce que oui, il avait de bonnes notes. Mais c'est parce qu'il a toujours beaucoup travaillé. Il voulait montrer l'exemple à sa sœur, et rendre fière sa mère.
C'est d'ailleurs peu après les résultats de l'examen final au lycée, que Miguel reçu sa dernière raclée. Les dernières années, ses fameux « camarades de classe » voulaient marquer le coup. Se défouler après les exams et se créer des souvenirs « drôles » avant de rentrer à la fac. Ainsi, le moyen était tout simplement de taper sur Miguel. Malheureusement pour le pauvre garçon, cette fois-là fut la fois en trop. Il était coincé dans les toilettes, ces fameux toilettes. Un groupe de cinq garçons ont commencé à lui taper dessus, donnant des coups de pieds, et des coups de poings.
Ils avaient bu, et peut être fumé aussi... Quoi qu'il en soit, un des cinq poussa violemment Miguel qui glissa pour se cogner durement le haut du crâne contre le rebord du lavabo. Après cette chute, son corps meurtri et ensanglanté ne bougea plus. Il ne remua plus, il ne gémit plus sous la douleur.
Il ne respirait plus.
Et les stupides « enfants » , ou monstres, paniquèrent. Quelques minutes après, une ambulance fut appelée, les jeunes hommes arrêtés. Par chance Miguel ne succomba pas à ses blessures, il resta paisiblement plongé dans un espèce de long songe, protégé de la réalité qui avait bien faillit avoir raison de lui. Tout le monde dans la réalité a apprit ce qu'il endurait en silence. Mais... Il est trop tard. C'est ce qu'à pensé le jeune garçon, lorsqu'il se retrouva dans cette pièce vide de tout. Dans ce rêve sans fin. Ne pas se réveiller, est peut être le sauvetage qu'il attendait ? Et s'il pouvait être heureux de cette manière ? Et si ce rêve éternel était la solution à son mal être grandissant ?
« Je préfère renaître dans un monde nouveau, plutôt que de rester dans cette réalité où j'ai été rejeté . »
La seule chose qui l'empêche de pleinement se laisser aller dans ce doux rêve, ou peut être cauchemar, c'est sa sœur. Il a la sensation qu'elle est avec lui. Quelque part dans ce monde étrange. Mais il ne sait pas comment, ni pourquoi. Peut être est-ce leur lien de gémellité ? Ou bien est-ce leur amour fraternel ? Dans tout les cas, le garçon compte bien retrouver sa sœur. Et si par malheur, elle se trouvait être dans cet « autre endroit », dans la Réalité, et bien... Il fera tout ce qu'il pourra pour y retourner. Il le pense toujours, une vie sans Anabella ne vaut pas la peine d'être vécue. Qu'elle soit réelle, ou pas. pseudoAlors... Je suis Hamumu ! C'est un de mes nombreux surnoms . Eumh... J'ai 19 ans, et cette année je rentre en première année de fac, donc je serais présente un minimum, sinon, je préviendrais dans les absences ^^~ . J'aime beaucoup le contexte ici *^* ! Et les personnages ont l'air très intéressant =D ! Désolée du retard encore, et je suis impatiente de rp avec vous <3 - Code:
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[b]Lee Dong Hun (Lee Miguel ; Caught out of the world)[/b] » [url=http://neverwakeup.forumactif.org/u23]Lee Miguel[/url]
Dernière édition par Lee Miguel le Mar 17 Sep - 1:23, édité 9 fois |
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